Year of the Cat de Al Stewart
17 septembre 2022Le single « Year of the Cat » – issu de l’album du même nom – de Al Stewart sort en 1976.
En épluchant le parcours d’Al Stewart, tu retrouves une flopée d’acteurs plus ou moins majeurs de la musique pop-rock et de la folk, parmi lesquels Paul Simon (avec qui il a partagé un appartement à Londres dans les années 1960), Alan Parsons (qui avait déjà lancé son project et été ingénieur du son sur quelques disques de légende – notamment Abbey Road pour les Beatles et Dark Side of the Moon pour les Pink Floyd, album qui détient le record de longévité dans le classement du Billboard 200 aux USA avec plus de 18 ans de présence – ouais, ça fait bien sur un CV, je trouve) ou encore Linda Ronstadt, pour ne citer qu’eux.
C’est parti pour un retour vers le futur du passé, dès à présent, direction Year of the Cat.
SOMMAIRE :
1- La chanson
2- De quoi qu’ça cause ?
De chat ! Et d’Asie du Sud-Est (ou pas).
3- Al Stewart, légende discrète de la musique pop / rock / folk
Mais putain de légende tout de même.
4- Covers
mmm… Il y a à boire et à manger, ou à déguster et à gerber oublier…
5- Bonus tracks
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Surtout, fais-toi plaisir ! Et à nous également, par la même occasion 🙂
1- La chanson Year of the Cat de Al Stewart
Sur les 6 minutes 34 secondes de ce titre, il y a au total 4 minutes 30 secondes de pure musique instrumentale. Tu vas peut-être te dire que je suis en train de faire de la comptabilité musicale, mais en fait pas exactement.
Le truc, c’est que le tour de force d’Al Stewart, c’est de proposer de longues plages musicales tout en posant un texte riche (voir chapitre suivant), le tout nous amenant à réaliser un voyage bien agréable au pays de la musique, de la poésie – « She comes out of the sun in a silk dress running / Like a watercolor in the rain » / « Comme une aquarelle sous la pluie », (ou comme un arc-en-ciel), c’est tout de même super joli, je trouve… et de la narration.
L’histoire de la création de la chanson est tout aussi intéressante, et est contée par Al himself au sein de cette interview (à laquelle je fais également référence au sein du chapitre suivant).
Il y a eu plusieurs temps, plusieurs étapes, parmi lesquelles une tournée aux USA avec la légendaire Linda Ronstadt, durant laquelle le pianiste Peter Wood avait l’habitude de jouer une série d’accords durant les réglages de balance. Al avait été immédiatement captivé par ces quelques accords, et avait demandé à Peter Wood s’il pouvait ajouter quelques paroles à cela, ce à quoi le pianiste lui aurait répondu « non » – Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Year_of_the_Cat_(song)#Composition.
Fort heureusement pour la suite, Al ne tint pas compte de cette fin de non recevoir, et crédita Peter Wood en tant que co-compositeur.
Enregistrement / behind the scene
L’enregistrement de l’album – et de la chanson – bénéficie de la production d’Alan Parsons (j’me répète, mais le gazier a déjà un putain de CV) et de musiciens de grand talent, dont le saxophoniste Phil Kenzie, un monstre en la matière.
La composition est brillante ; elle propose un instrumentarium varié – le classique trio guitare (variée, pour le coup) / basse / batterie, mais également du piano, du violon, du violoncelle (sauce synthé ?) et du saxophone.
Les enchaînements des différents thèmes se glissent entre les couplets (ou le contraire : les couplets se glissent entre les thèmes) avec une élégance que ne renieraient pas Jean-Claude Killy ou Alberto Tomba.
Résultat
L’album ET la chanson obtiennent un important succès commercial, principalement aux USA et au Canada, mais également du côté de la planète où les gens marchent la tête en bas, à savoir l’Australie et la Nouvelle-Zélande (là où y a tout plein de piafs qui ne volent pas).
En Europe, ça n’est pas spectaculaire au niveau du classement, mais ça se vend bien tout de même, notamment aux Pays-Bas et chez leurs cousins du Belgistan Oriental.
Environ 1,5 million d’albums sont écoulés dans le monde, la majorité aux USA, et Year of the Cat demeure le disque le plus vendu d’Al Stewart, et la chanson du même nom – objet principal du présent article (je le précise, au cas où je t’aurais malencontreusement égaré(e)) – sa chanson signature.
Pour ce qui concerne le single, je n’ai pas trouvé de chiffres, alors j’ai utilisé la méthode dite du doigt mouillé et il en ressort ceci : beaucoup.
Héritage
Non, Al n’est pas mort, et je ne figure (à ma connaissance) pas sur son testament (mais Al, si tu me lis et que tu apprécies l’article, n’hésite pas). Et surtout je te souhaite encore une longue et heureuse vie.
En fait, si je cause d’héritage – en lien avec la chanson Year of the Cat – c’est parce que je ne peux pas m’empêcher de penser que sans la brillante partie de sax de ce morceau, ben il n’y aurait peut-être pas eu le Baker Street de Gerry Rafferty.
Je te sens circonspect(e)… Dissipons de suite le doute :
Voilà, c’est mon point de vue. Gerry est allé chercher Raphael Ravenscroft et lui a dit « fais-moi un truc à la Phil Kenzie dans Year of the Cat, et nous allons tout déchirer ».
Ce qui fut fait : les ventes du disque ont été stratosphériques.
C’est historique, que veux-tu, on ne nous dit pas tout.
En fait si, moi j’te dis tout, et là nous allons voyager avec Al via le désormais traditionnel « De quoi qu’ça cause ? ».
2- Year of the Cat de Al Stewart | De quoi qu’ça cause ?
Sommairement, l’histoire (à la seconde personne) que raconte la chanson est celle d’un touriste qui succombe à un coup de foudre pour une beauté locale, et que cela va substantiellement modifier le cours de sa vie.
Comme un ouragan (but there’s calm in your eye – je n’allais pas louper cette perche que j’me suis moi-même tendue afin de placer un bout de Neil Young, bordel)…
Où qu’ça s’passe ?
Quelques éléments laissent supposer que cela se déroule en Afrique du Nord, notamment la référence faite au film Casablanca (cf. interview citée plus bas, et déjà citée plus haut) et aux murs du marché, carrelés de bleu.
S’il y a des éléments qui, isolément, peuvent donner lieu à une réponse telle que « ben qu’est-ce qui empêche une londonienne ou un new-yorkaise de sentir le patchouli ou de porter une robe en soie, le tout sur fond du marché de Bakerstreet* ou à San Francisco (oui, une New-Yorkaise a bien le droit de se promener à SF) ? », le titre Year of the Cat – l’Année du Chat – nous renvoie à l’astrologie vietnamienne, et associé à la ligne « In a country where they turn back time », cela ne laisse pas planer des masses de doutes sur le fait que la destination du touriste est exotique.
* non, tu ne rêves pas. Tel un chat, je retombe sur mes pattes et replace un coup de Baker Street / Bakerstreet en glissant cette fois sur le carrelage du même nom.
Je sais, c’est dingue.
Pour ma part, j’ai décidé que ça se passait en Asie du Sud-Est. D’où la superbe photo de couverture de cet article. Un trip du genre « Les Petites Rues de Singapour » de Lou and the Hollywood Bananas.
Punaise, ça me fait penser qu’il faudra vraiment que je consacre un article à Lou Deprijck, un de ces jours.
Revenons un instant à l’histoire (de la création) de la chanson…
Dans cette interview (oui, seconde référence à celle-ci), Al explique que sa petite amie de l’époque avait un livre sur l’astrologie vietnamienne, et qu’il était tombé sur la page de l’Année du Chat. Peu après, il a (re)vu le film Casablanca à la télévision, ce qui nous amène aux lignes « On a morning from a Bogart movie / In a country where they turn back time / You go strolling through the crowd like Peter Lorre / Contemplating a crime ».
En fait, tu sais quoi ? On s’en fout de la localisation géographique, parce que l’une des idées derrière la chanson et la ligne « In a country where they turn back time » est que ça se passe « ailleurs », et que cet ailleurs n’est pas que géographique : il est également temporel.
Parce que oui, ce qui ressort de cette histoire de coup de foudre qui amène l’amoureux transi à ne pas prendre le bus de retour – « And the bus and the tourists are gone / And you’ve thrown away your choice you’ve lost your ticket » – c’est la question des choix (ou du destin) et de la mise entre parenthèse du flot de la vie au sens « routine ».
Notre amoureux transi est comme qui dirait happé par le charme hypnotique de cette beauté qui l’entraine derrière une porte dérobée – « By the blue tiled walls near the market stalls / There’s a hidden door she leads you to » et va changer le cours de sa vie (vu qu’il ne reprendra pas son bus pour retourner vers son métro / boulot / dodo).
A-t-il choisit ou subit ? C’est toute la question entre le libre arbitre et le destin.
Cette thématique rentre d’ailleurs en résonance avec son album précédent – Past, Present and Future.
Si je puis me permettre cette remarque. Le puis-je ? Oui.
D’ailleurs, creusons maintenant – ou tout du moins effleurons délicatement – la carrière de notre héros du jour.
3- Al Stewart, légende discrète de la musique pop / rock / folk
Al Stewart, c’est un musicien majeur de la musique pop / rock et folk. Picétou.
Non ? OK, alors effectuons un bref balayage en règle de sa (déjà longue) carrière au service d’une musique subtile.
Al Stewart a débuté sa carrière au milieu des années 1960, motivé par les précurseurs du rock’n’roll. Cela dit, il ne se sent pas les épaules d’un Elvis Presley ou d’un Eddie Cochran, et se tourne peu à peu vers la musique folk, aidé en cela par son observation de Bob Dylan (qui le marque durablement au niveau de l’écriture des textes) et plus encore par sa rencontre (et colocation) avec Paul Simon.
Des années durant, il joue dans des pubs orientés folk – notamment le Bunjies Coffee House & Folk Cellar et le Les Cousins – dans lesquels il croise notamment Cat Stevens et Van Morrison, tout en enregistrant déjà quelques albums au sein desquels il n’hésite pas à proposer des titres très longs, pleinement raccords avec l’émergence du rock progressif.
La (très bonne) réputation qu’il a acquise durant ses premières années l’amène à participer au tout premier Festival de Glastonbury (nommé Pilton Festival en ce temps-là) en 1970, notamment aux côtés de T. Rex.
Son quatrième album – qu’il qualifie parfois avec humour de « suicidaire » parce que largement hors standards de l’industrie musicale – lui offre une première ouverture sur les USA, puisque le disque y est distribué.
Cet album, c’est Past, Present and Future, et on y trouve notamment ce titre (Nostradamus, pur morceau de folk prog’) – qui s’il est peu diffusé sur les radios mainstream aux USA, connait un franc succès au sein de certaines radios de campus US (plus flexibles au niveau du format des chansons).
Cet album est disons non pas politisé à outrance, mais apporte surtout une lecture de l’histoire du XXème siècle (principalement, mais pas que) au travers de quelques uns de ses acteurs plus ou moins majeurs.
On y trouve notamment un président des USA, Staline et ses purges, le mannequin Christine Keeler – qui défraya la chronique via le scandale politique connu sous le nom de « Profumo sex affair »….
Il s’agit donc d’un genre de patchwork de cartes postales des années 1900 à 1970, chroniqué sous forme de chansons, ce qui en fait – allez mouillons-nous – un concept-album comme ils disent les savants de la zizique, avec comme paysage des faits divers largement médiatisés ou des personnages politiques (généralement peu reluisants).
À l’occasion de son album suivant – Modern Times, Al confie la production à Alan Parsons.
Cet album est bien moins basé sur des chroniques historico-érotiques que le précédent, et consiste en un retour à des histoires chantées façon folk music.
Et vint ensuite l’album Year of the Cat. Tu veux que j’t’en parle ?
Donc, je ne te dresse pas ici une biographie détaillée de la vie d’Al Stewart, mais bien plus les hauts faits d’armes du bonhomme, ainsi que les pierres angulaires de sa carrière musicale, avec comme pinacle cette chanson, qui, si je ne t’avais pas dit tout cela, le ferait pour un peu passer pour un one-hit wonder, ce qui serait bien réducteur.
Parce que voilà le truc, si on ne parle pas tous les jours d’Al Stewart (ou alors ça m’aura totalement échappé) et que je n’ai pas le souvenir d’avoir entendu un artiste dire « je me suis mis à la guitare grâce à Al Stewart », le bonhomme a laissé une empreinte de qualité au sein de l’histoire de la musique pop / rock / folk whatever, a côtoyé du beau monde, a su chroniquer en musique son époque, et va savoir, peut-être même le futur et surtout allié des textes de qualité à une musique au top, avec des p’tits airs de fusion machin des genres, du rock à la pop en passant par le jazz et bien entendu par la folk.
Puis comme j’me sens l’âme d’un Zorro du web, ben je rétablis les faits.
Nom de diou !
Voilà pourquoi j’ai nommé ce chapitre – avec un brin de grandiloquence ou de justesse, je te laisse décider – Al Stewart, légende discrète de la musique pop / rock / folk.
Passons maintenant à une sélection de covers de Year of the Cat.
Maintenant que tu sais que c’est la masterpiece d’une légende de la musique truc.
4- Year of the Cat | Covers
J’en ai écouté 2 ou 3, et j’ai kiffé celui-là dès que le chanteur a commencé…
Punaise de timbre magnifique.
J’me suis dit « ça serait con de ne pas poster la vidéo, avec un tel timbre ».
« Timbre / Con / Poster / Composter »… C’est rigolo, hein ? Non ? Moi ça m’a fait rire…
Rubrique cover façon malus track
Celui-là, c’est à titre purement pédagogique dans le cadre de la série « nom d’un zob, apprends à régler ta putain de batterie, et une balance, accessoirement » :
La dame qui passe vers 3m27s n’en pense pas moins.
Franchement, la balance est réglée comme mon cul : on entend mal la guitare, par contre, le batteur, t’as l’impression que c’est John Bonham qui poutre ses fûts. Alors que non, hein. Puis là, ça ruine le reste.
Déception supplémentaire, je pensais que les deux filles mignonnes autour du clone de Vin Diesel allaient pousser la chansonnette. Ben même pas. Heureusement qu’elles sont là, sinon, sur le plan esthétique. Oui je suis un esthète.
Allez, on zappe.
Passons auX bonus tracks. Ouais y en a deux !
5- Bonus tracks
Et une version longue, une !
– Source : Youtube | Al Stewart / Year of the Cat (extended live version) –
Oh ben quand c’est bon, on peut bien prendre 2 minutes de plus par rapport à la version initiale.
Et, collaboration majeure oblige, un p’tit coup de Alan Parsons Project
Eye in the Sky, c’est (tiens, une fois encore…) le titre de l’album ET de la chanson qui ont fait connaître Alan Parsons au monde entier (incluant mes oreilles de profane).
La vidéo propose un enchaînement de l’instrumental Sirius suivi du méga-hit Eye in the Sky, comme c’est le cas sur l’album – et assez souvent (même si pas tout le temps) en concert.
Ici, c’est Alan Parsons qui se colle au chant, à la place d’Eric Woolfson, parti entretemps mener ses affaires en solo. Et ça le fait bien dans cette tonalité (globalement) plus basse.
C’est du fuckin’ good son, et c’est bon.
Voilà, c’est fini, comme chantait Jean-Louis Aubert.
Enfin c’est simplement fini pour ce qui concerne cet article ; je te proposerai prochainement – une fois encore – de quoi mettre en joie tes oreilles avec une légende – cette fois-ci féminine – de la musique.
UPDATE : Patrick de Black Bonnie me signale que le cover art de la pochette a été réalisé par Colin Hedge, membre du collectif Hipgnosis (un genre d’association de graphers… euh de graphistes).
En wikipediant le nom, je remarque que le collectif a également réalisé le cover art des albums Eye in the Sky et Modern Times, notamment (en fait ils en ont réalisé tout plein pour Al et Alan).
Je t’invite de ce fait à découvrir quelques articles de Patrick en lien avec ce collectif en cliquant ici-même >>
Bisous mes chéris 🙂
Olivier
EN SAVOIR PLUS :
- L’astrologie vietnamienne pour les Nuls >>
Avec ce moment de grâce : « Chat » se prononce ainsi : « Mão ». C’est tout.
Parce que comme chacun sait, Mao sait tout.
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Illustration principale : Image par Tung Lam de Pixabay
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Al Stewart / Year of the Cat | Auteur : Al Stewart
Sources documentaires :
Wikipedia
Patrick de Black Bonnie – le site musico-moto-pinupien le plus jouissif de l’univers – pour l’info sur le cover art
Notes rédactionnelles & mises à jour :
Article mis à jour le 21/01/2023 (CG-RYL-2023).
Article mis à jour le 21/12/2022 (Norme RYL-12-2022).
SÉLECTION MUSIQUE :
AUTEUR(S) DE L’ARTICLE :
- Scatman de Scatman John - 13 juin 2023
- Prisencolinensinainciusol d’Adriano Celentano - 12 juin 2023
- Svalutation d’Adriano Celentano - 12 juin 2023
VOTES | PARTAGES | COMMENTAIRES :
« Merci d’avoir réveillé ma mémoire parfois un peu endormie »
Ouais alors ça c’est normal parce que… nan rien.
😀
« Quel talent (Pas toi hein! Al, bien sûr!) »
Tout le monde l’entend bien ainsi
😀
« Et puis produit par Parsons, on se refuse rien s’pa? »
Quand les talents s’associent, c’est clair, ça fait rêver.
« Et la magnifique pochette de Colin Hedge (Hipgnosis). S’cusez du peu! »
J’ai ajouté une mention à ce sujet au sein de l’article.
En précisant bien que j’ai trouvé ça tout seul parce que j’suis culturisé.
(sur un malentendu…).
Merci pour ton comm’ Patrick !
Merci d’avoir réveillé ma mémoire parfois un peu endormie. Quel talent (Pas toi hein! Al, bien sûr!). Et puis produit par Parsons, on se refuse rien s’pa?! Et la magnifique pochette de Colin Hedge (Hipgnosis). S’cusez du peu!