Cover Dancing in the Dark

Cover Dancing in the Dark

5 septembre 2022 2 Par Olivier - Ride Your Life
Temps de lecture estimé : 10 minutes
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Nouveau challenge : trouver LE cover de Dancing in the Dark.

Nous y voilà, comme pressenti au sein de l’article consacré à Born in the USA, la trilogie Bruce Springsteen sera complète à l’issue de cet article consacré à des covers de Dancing in the Dark.

Concernant la photo principale qui illustre cet article, si tu te demandes pourquoi je suis allé chercher le tableau La Liberté guidant le peuple d’Eugène Delacroix, et que tu trouves cela incongru, sache qu’il n’en est rien.

Dancing in the Dark est une chanson révolutionnaire. Si si. J’te dis tout un peu plus bas.


SOMMAIRE :


1- Dancing in the Dark de Bruce Springsteen
Avec le joli minois de Courtney Cox en bonus.

2- De quoi qu’ça cause ?
Qu’est-ce qu’il nous dit le Bruce à vouloir danser dans l’obscurité ? Il est nyctalope ou bien ?

3- Un chant révolutionnaire
TOUT (comme promis).

4- Les Covers qui tuent leur race
(j’sais pas si ça s’accorde, « leur(s) race(s) » – dans le doute, je mets les deux)
Celui de James Blunt mérite le détour, sous ses airs de ne pas tout déboiter (alors qu’en fait, si).

5- Bonus track

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Surtout, fais-toi plaisir ! Et à nous également, par la même occasion 🙂

You can't start a fire without a spark / Tu ne peux pas démarrer un feu sans une étincelle
– Source : Image par Hans de Pixabay –

1- Dancing in the Dark de Bruce Springsteen


– Source : Youtube | Bruce Springsteen / Dancing In the Dark (vidéo officielle) –

Nous sommes en 1984. Voilà près de 10 ans que Bruce a percé les charts US pour la première fois avec Born to Run.
Sa musique a dépassé le cercle des initiés jusqu’en Europe depuis Hungry Hearts, même si certains bas de plafond s’évertueront à te dire que c’est « du commercial », du « rock FM », que Bruce a utilisé des méthodes Brian wilsoniennes pour modifier le timbre de sa voix (un p’tit coup de speed-up) et que donc bla bla bla, et autres foutaises (j’m’en fous d’autant plus que cette chanson me rappelle Risky Business avec Tom Cruise tout jeune premier et Rebecca De Mornay au top de sa splendide sexytude, et que j’apprécie ce film – forcément).

Mais donc, en 1984, Bruce entre dans la stratosphère et se retrouve propulsé au rang d’hyperstar mondiale avec son album Born in the USA, dont le titre du jour constitue le premier extrait.

Tout est bien soigné pour que la chanson et le clip cartonnent : la chanson est excellente (musique et texte), le clip est signé Brian de Palma, j’sais pas qui a eu l’idée de caster une Courtney Cox âgée de 19 ans, pour ainsi dire inconnue du public et pétillante à souhait (mais merci à cet(te) inconnu(e) d’avoir eu aussi bon goût). Ajoute à tout cela le fait que Bruce est fuckin’ sexy dans son fute moule-fondement et sa chemise à manches courtes et retroussées, et tu as une recette presque assurée pour obtenir un succès énorme. Ce qui ne manqua pas d’arriver.

Mais alors, c’est quoi ce truc de danser dans l’obscurité ? Bruce n’aurait pas payé ses factures d’American Electric Power ? Serait-il nyctalope ?

Allez, zyeutons le texte histoire d’y voir… plus clair.

Punaise, j’ai encore mangé un clown ce matin…


2- De quoi qu’ça cause ?


De plein de trucs : de dépression (sans la nommer), d’envie de changement, de la quête d’une nouvelle hypothétique Wendy qui pourrait sauver Bruce, et de révolution. Sans arme, ni haine, ni violence.
Puis de plein de choses encore, si tu creuses, ce qui révèle que Bruce est un pur génie de l’écriture. Ça peut être sans fin d’analyser ses textes, alors j’ai fait une sélection de quelques thèmes.


De Dépression

Alors bien sûr, tu noteras cette habitude de Bruce, qui te chante des trucs parfois – souvent ? – moroses sur un tempo bien rapide façon allegro, histoire de faire passer la pilule (sinon ça donne du Aznavour).

Bruce a beau être déjà the Boss, avoir sorti l’album de la consécration, voilà des années qu’il souffre d’une ce ces saloperies de maladies invisibles. Celles que ceux qui te voient sans te regarder ne voient pas, forcément. « Mais il a tout pour être heureux, c’est quoi son blème ? ».

Alors quand tu es chanteur et ainsi affecté, tu peux te réfugier dans la picole ou la came (c’est pas son truc), ou alors te jeter dans le travail, avec comme inconvénient qu’une fois les lumières des tournées éteintes, la dépression revient comme un jack-in-the-box.
Alors tu bosses encore plus, parfois jusqu’à l’épuisement, mais d’un autre côté, c’est ton anti-dépresseur et le sevrage post-tournée est d’autant plus brutal, once again.

« I come home in the mornin’
I go to bed feelin’ the same way
I ain’t nothin’ but tired
Man, I’m just tired and bored with myself
»

Ce passage, à titre d’exemple, ça n’est pas juste le constat d’un travailleur de nuit qui vit de manière décalée et est fatigué. C’est un appel à l’aide, d’ailleurs explicite juste à la fin de ce premier couplet : Hey there, baby, I could use just a little help.


D’envie de changement

« I check my look in the mirror
Wanna change my clothes, my hair, my face
»

Ceci n’est pas juste une demande de relooking, nous sommes d’accord.
Il faut que ça bouge, mais comme chacun sait, quand le problème est en toi, tu peux toujours déménager, tu l’emmènes dans tes valoches avec toi.

« I’ll shake this world off my shoulders », genre je vais secouer mes épaules pour me débarrasser des mes pellicules. La méthode [tut] & shoulders.

Il va tout de même falloir une shampouineuse…


Wendy’s gone, suivante !

« Come on, baby, the laugh’s on me » : la Wendy de Born to Run n’a plus de prénom, mais Bruce y voit encore une sauveuse.

Bruce n’a pas encore trouvé sa Wendy. En fait, si. Mais non.

Abordons un court instant la rubrique « potins et histoires de cœur » (sans laquelle le secteur de la presse et des médias serait bien moribond).

Bruce a bien rencontré sa sauveuse, qui a même rejoint le E Street Band, mais voilà, malgré des affinités évidentes entre les deux, l’un partira se perdre dans un mariage qui battra de l’aile presque aussi rapidement qu’un colibri, et Patti – oui c’est bien elle – passera quelques moments intenses avec… ben Tom Cruise.
Comme quoi, le Hungry Heart n’était pas bien loin.

D’ailleurs, cet incroyable loupé (qui n’a été qu’un report dans le temps, fort heureusement) entre dans une résonance presque cynique avec le refrain de la chanson :

« You can’t start a fire
You can’t start a fire without a spark
»

Alors l’étincelle était bien là, mais aucun des deux ne semble l’avoir vu sur le moment. L’univers est souvent taquin.


De révolution

J’te l’ai dit, sans arme ni haine ni violence.
Allez, let’s talk about revolution.


3- Un chant révolutionnaire


Je sens bien que tu es potentiellement en train de te dire que j’ai fumé d’la moquette ou que je tente de te jambonner. Dans le sens te prendre pour un jambon (ouais, nouvelle acception du verbe).

Il n’en est rien.

Quand je parle de révolutionnaire, tu penses à révolution (normalement), aux bains de sang qui accompagnent ce processus de déplacement des privilèges et de (bien souvent) changement de tyrans.

Personnellement, même s’il m’arrive – je le confesse – de me dire qu’on en a gros et qu’il faudrait aller botter des culs, j’me ravise aussitôt en me disant que la violence ne résoud (oui, j’utilise la forme archaïque du verbe résoudre conjugué à la troisième personne du singulier, j’suis archaïque et j’m’en fous, et puis la forme moderne avec un t à la fin est moche, picétou) rien, et puis que toute révolution ou presque aboutit au remplacement de tyrans par d’autres tyrans comme je l’ai déjà écrit plus haut mais j’aime bien (me) le rappeler.

Alors je m’intéresse plus à la révolution selon Léo Ferré :

– Source : Dailymotion | Léo Ferré au sujet de la révolution (extrait interview) –

« Je suis révolutionnaire de la vraie révolution, c’est à dire de la révolution au niveau de l’individu […]»
– Léo Ferré –

Ben voilà.

Et Bruce, il a comme qui dirait amorcé un genre de procédé révolutionnaire, parce que s’il en a gros, il a décidé de ne zigouiller personne, et se tourne donc vers la révolution de sa propre personne.

C’est une chanson de révolte, pas contre les autres, mais pour soi-même.

T’inquiète Bruce, tu vas pouvoir étinceler avec Patti… D’ici quelques années.


4- Les Covers de Dancing in the Dark au top


Allons directement au cover qui m’a retourné.

Jørgen Dahl Moe | Dancing In the Dark

– Source : Youtube | Jørgen Dahl Moe / Dancing In the Dark (cover Bruce Springsteen) –

Ouaip, le p’tit gars natif d’Andebu, en plein milieu de la Norvège, il a même détrôné Amy Macdonald au sein de ma sélection.

Ce petit salopiot est allé jusqu’à tirer des larmes à l’un des jurés – le musicien & producteur Matoma – (pas à moi, j’suis un bonhomme… OK, j’ai chouiné aussi. Juste un peu. OK, j’ai lessivé un paquet de chouinex mais tu gardes cela pour toi).

Je m’étends assez rarement sur le côté technique dans la musique, non pas qu’il ne soit pas intéressant, mais que parfois, trop de technique tue l’émotion, et que la musique – pour moi – ça doit véhiculer de l’émotion. Sinon c’est plus ou moins de la branlette.

Et accessoirement, j’suis pas musicologue one-again breveté, lu et approuvé, et surtout, j’m’en branle.

Par contre, quand cette technique est non pas une finalité mais un outil au service de l’émotion, ben ça donne ce genre de résultat. Le truc qui t’envoie dans le cosmos.

Au niveau technique vocale, le Jørgen a un niveau assez indécent et il nous délivre à peu près la palette complète de variations entre voix de tête, voix de poitrine et modulations qui collent aux paroles comme un sticker colle à ma guitare. Ça sent les cours de chant avec un cador, à plein nez.

Putain de zob, le gamin il maîtrise tout cela mieux que certaines chèvres qui chantent (ou beuglent, couinent, susurrent, selon le cas) depuis des lustres. Tout en se prenant pour des cadors (bien aidés qu’ils sont par leurs admirateurs & promoteurs béats).

La seule chose que je regrette est qu’il ait escamoté / zappé le second couplet de la chanson. Peut-être pour des raisons de format, mais c’est dommage parce que j’aurais bien aimé entendre sa version de ce couplet.

EDIT : c’est fait, ici même >>

Comme quoi, il peut ressortir de très bons artistes de ces télé-crochets (Jørgen a gagné cette édition de The Voice Norvège), à hauteur que les jurés n’aient pas des pieds à la place des oreilles et/ou de trop gros soucis d’ego.


Les aut’s covers de Dancing in the Dark qui m’ont bien plu

J’en ai écouté pas mal. Certains m’ont laissé indifférent, d’autres m’ont donné envie d’aller utiliser d’autres produits de la gamme chouinex (destinés au fondement et non pas au nez).


Amy Macdonald :

– Source : Youtube | Amy Macdonald / Dancing in the Dark (cover Bruce Springsteen – live avec troubadours en masse) –

Je kiffe Amy, je trouve ses covers excellents, mais sur ce coup-là, ça n’égale pas la claque provoquée par son cover de Born to Run. Question de goût et de préférence personnelle, rien d’autre à dire (ou alors j’l’ai déjà dit au sujet de Jørgen).


James Blunt

– Source : Youtube | James Blunt / Dancing in the Dark (cover Bruce Springsteen) –

Ben voilà, il se trouve que je suis « fan » de James depuis Back to Bedlam. Alors quand j’ai vu qu’il proposait lui aussi un cover de Dancing in the Dark, j’me suis précipité pour l’écouter, parce que Hey baby, I’m just about starvin’ tonight.

Et j’en ai été tout à fait réjouit. Alors je ne le compare pas aux autres, c’est de toute façon un choix personnel, comme pour tous les covers proposés, et il se trouve que celui-là m’a fait battre la mesure du pied, ce qui a valeur de validation, en ce qui me concerne.

D’ailleurs, parlant de battre la mesure, j’apprécie beaucoup le job du bassiste, et puis le fait que le groupe nous ait épargné un mauvais batteur qui essaie de faire du Max Weinberg et qui est infoutu de régler / égaliser convenablement sa caisse claire, ce qui provoque l’inconfort de mes oreilles à chaque fois que cela arrive, putain c’est dit. Payez-vous des cours de réglage de vos batteries ou des ingés sons qui savent bosser, bordel.
Le préposé au tambourin remplace avantageusement un batteur chiant du Bouchonnois qui ne fait pas la différence entre un bon et un mauvais batteur. Et je kiffe le moment où il utilise la paroi du studio comme grosse caisse ou je ne sais trop quel fût, quel qu’il fut.

Pour finir, j’ai la caution de Brian May, qui semble avoir bien kiffé également, alors voilà, donc, hein.


La Trilogie Bruce Springsteen :


5- Bonus track : Bruce Springsteen | Dancing in the Dark live

(avec sa moman et sa p’tite sœur, so cute)


– Source : Youtube | Bruce Springsteen & E Street Band & Family / Dancing in the Dark live (@ Londres en 2013) –

Bien.

J’ai découvert cette version peu après la disparition de ma Moman chérie à moi, alors autant te dire que quand j’ai vu le Boss danser avec la sienne, ça a été les chutes du Niagara en version saline.

Tu vas te dire que je chouine souvent, et je ne vais pas te contredire.

Heureusement, j’me suis imaginé le dialogue entre Bruce et sa maman, vers 5m23s (et ça m’a fait rire) :

Bruce: « hey lovely Mum, would you play the guitar? »
Mum: « beloved son, you know I can’t play the guitar »
Bruce: « it doesn’t matter Mum. Bono neither can’t play the guitar, but he’s been doing some air guitar for 40 years »
Mum: « aaaaaaw son, you’re so funny »

(ouaip, ceci est un copié-collé de mon commentaire sur la vidéo – j’en revendique le copyright)

Sinon, j’ai bien envie de dire que tout Bruce est résumé dans cette prestation. Le E Street Band est là et bien là, le neveu de Clarence est également présent afin d’assurer la relève, Bruce invite sa maman chérie (celle-là même qui lui acheta sa première guitare chez un prêteur sur gage) à la danse traditionnelle durant ce titre, Tonton Steven lui dit d’aller chercher sa p’tite sœur qui trépigne en coulisse, le public est en phase de kiff intense…

Une fois encore, c’est la communion entre un public et un p’tit gars venu de Freehold dans le New-Jersey sans être né avec une cuiller en argent dans la bouche, qui n’est pas seulement un putain d’auteur-compositeur, un putain de chanteur et de bête de scène, un putain de beau gosse, mais qui est aussi un homme qui se souvient d’où il vient, à qui il doit d’être là où il en est – en-dehors de lui-même – et qui ne s’est jamais fait passer pour ce qu’il n’était pas.

Ce qu’il est, c’est The Boss et un putain d’être humain radieux, malgré une putain de longue dépression.

J’ai vécu une douzaine d’années dans le sud de la France. « Putain » c’est pas un gros mot là-bas, c’est une ponctuation ou un superlatif (comme « fucking » en Anglois).


Si tu n’apprécies pas la chanson Dancing in the Dark et que tu es encore là, tu es un héros plein d’abnégation, et je t’en félicite.

Si par contre tu apprécies cette chanson, j’espère que les différents covers proposés t’auront plu (sinon, t’as qu’à trouver les tiens !).

Pour ma part, je m’aperçois que j’écoute celui de James Blunt en boucle depuis tout à l’heure, comme quoi, il est vraiment bon (il n’y a pas que moi qui le pense, Brian May le pense également). Peut-être parce qu’en l’adaptant, James a saisi le côté assez viscéral de la musique – le truc de survie, là où Jørgen nous fait vivre le texte dans son côté le plus émotionnel, dans le sens de la sensibilité. Dans les 2 cas, c’est brillant.


J’vous fais plein de bisous mes chéris 🙂

Olivier



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Illustration principale : Image par WikiImages de Pixabay
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Paroles de la chanson « Dancing in the Dark » | Auteur : Bruce Springsteen


Sources documentaires :

Wikipedia


Notes rédactionnelles & mises à jour :

Article mis à jour le 21/01/2023 (CG-RYL-2023).
Article mis à jour le 21/12/2022 (Norme RYL-12-2022 + corrections).


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AUTEUR(S) DE L’ARTICLE :

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