Ford Gran Torino : merci Starsky et Hutch !

Ford Gran Torino : merci Starsky et Hutch !

27 septembre 2022 1 Par Olivier - Ride Your Life
Temps de lecture estimé : 10 minutes
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Ford Gran Torino : la version allongée (au niveau de son nom) de la Torino a manifestement connu son heure de gloire grâce à la série Starsky et Hutch, bien avant que Clint Eastwood ne lui dédie le titre d’un de ses films.

Alors, Monsieur Ford, à qui dit-on merci ?


SOMMAIRE :


1- Histoire abrégée de la Ford (Gran) Torino

2- Starsky & Hutch et leur Ford Gran Torino

3- Gran Torino de Clint Eastwood

4- Bonus tracks

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Surtout, fais-toi plaisir ! Et à nous également, par la même occasion 🙂


1- Histoire abrégée de la Ford (Gran) Torino


La Ford Torino, pas encore disponible en version Gran, naquit en 1968 dans l’une des maternités de la Ford Motors Company, déjà maman de nombreux véhicules qui ont marqué l’histoire des USA, et du cinéma (puis des séries).

Appelée à compléter la gamme Fairlane, elle finit pas devenir une série-modèle (et pris sa revanche en devenant chef de famille, la Fairlane étant renvoyée au rang de petite sœur – petite sœur que la constructeur décida de noyer dès 1971).

Destinée à devenir une énième « voiture à Papa », la Torino connut son lot d’évolution (techniques, marketing, poudre de perlimpinpin et autres modifications), et même ses versions musclées (les muscle car si chères aux états-uniens, et dont les performances relatives font glousser de rire le moindre motoriste européen). Et peut donner envie aux plus taquins d’entre eux d’appeler les muscle cars des mussel (moule -le mollusque bivalve) cars.

Parce que oui, il faut bien comprendre qu’il n’y a pas que l’océan Atlantique qui sépare les USA de l’Europe. Il y a également un océan au moins aussi vaste : celui de l’approche très différente des performances qu’un moteur doit produire.

Aux USA, un moteur de 2 litres, c’est bon pour une moto bricolée ou une « putain de voiture japonaise ou européenne ». Chez eux, personne n’a honte de sortir un V8 de plus de 6 litres qui peine à atteindre les 250 chevaux. Et si tel est le cas, ça devient une muscle car.
Le côté positif de cette divergence consiste à obtenir des moteurs coupleux, et tellement peu surmenés qu’ils sont ultra-fiables, sauf à piloter les carrosses qui les reçoivent façon Starsky (admire la transition tellement subtile rapport au second chapitre).

Et puis au risque de sembler un brin grivois, pour ma part, le ronflement d’un V8 états-unien, ça me file presque une érection (et crois-moi qu’à mon âge avancé, c’est super appréciable).
Ça a du coffre, ça feule au ralenti, ça rage sa race quand tu appuies sur le champignon, punaise j’sais pas comment te décrire ça.

En fait, si. Une vidéo fera le job :

– Source : Youtube | Compilation de bruits de moteurs de voitures US / American Muscle Cars –

Tu peux t’en tenir au tout premier extrait (avec une Dodge Charger), c’est juste ce que je souhaitais te faire écouter.
J’ai dû me taper des dizaines d’autres vidéos, souvent chiantes, genre le mec qui met une demi-heure à démarrer sa chiotte dans son garage jusqu’au compil’s de runs improbables en pleine ville, en passant par les séances de burn, avant de trouver celle-là.

Oui je m’autocongratule après tant d’efforts…


Le côté pas glop de ces bagnoles, c’est que la plupart des moteurs de ce type bouffent 20 litres aux 100 kms en mode pépère, que ça pousse les kékés à vouloir reproduire certaines scènes de films (dans lesquels se sont des cascadeurs professionnels qui pilotent) et qui finissent dans le mur comme des glands qu’ils sont, parce que ça chasse du cul plus facilement que n’importe quel skieur spécialisé dans le slalom ne saurait le faire.
Accessoirement, ça fait un barouf’ pas possible si les kékés veulent en plus une ligne d’échappement modifiée.


Sinon, pour en revenir à la Ford Torino, elle a donc connu son lot d’évolutions, jusqu’à l’apparition de la dénomination « Gran Torino », qui n’est qu’une dénomination commerciale (elle n’est pas plus grande, malgré ce que la traduction littérale de gran pourrait laisser entendre).

Pour rester dans le domaine de la langue italienne, il y eut une mode qui consistait à attribuer à certains modèles Ford des noms de villes italiennes (Turin, Capri… ben c’est fini).

Voyons maintenant comment cette voiture à la papa – si muscle-carisée soit-elle – est devenue le cheval mécanique d’une série des années 1970, j’ai nommé Starsky et Hutch.


2- Starsky & Hutch et leur Ford Gran Torino


Diffusée à partir de 1975, la série Starsky et Hutch est tout sauf anodine dans l’histoire des séries Made in USA.

Si d’autres séries avaient ouvert la voie aux acteurs afro-américains (je pense notamment à Mission Impossible) sous l’impulsion des lois encadrant les quotas ethniques (tokenism), les producteurs de la série ont casté 2 acteurs afro-américains parmi les 4 personnages principaux.

Si je conviens du fait que l’analyse du tokenism est complexe, qu’elle peut-être nuancée et surtout qu’elle connait ce que je qualifie de débordements, pour ne pas dire de caricature, à l’heure du wokisme, il n’en demeure pas moins que dans un pays – les USA – où une dizaine d’années auparavant sévissaient encore de nombreuses lois ségrégationnistes, nous revenions de loin.
Je me focalise donc sur les résultats du pendant « discrimination positive » de ce mouvement : nous n’aurions probablement pas connu nombre de superstars du cinéma qui se trouvent être afro-américaines sans ce passage obligé. Et là – tout aussi probablement – nous n’aurions pas eu le plaisir de connaître les carrières de Denzel Whasington, Forest Whitaker, Laurence Fishburn, Samuel Jackson etc. (pour ne citer qu’eux), malgré les efforts louables de Michael Curtiz avec son film CasablancaDooley Wilson y incarne le pianiste Sam, probablement le premier rôle pour un afro-américain autre que celui d’un balayeur, d’un doemstique ou d’une femme de chambre (ah ben si, hein…).
Autant dire que nous serions passés à côté d’un vivier considérable de talents.

Enfin je te recauserai de tout cela au sein d’un article consacré au film Posse / La Revanche de Jesse Lee. quasiment terminé depuis 2 mois et pas encore en ligne…

Analyser ce phénomène depuis la France ne me semble pas très opportun, l’histoire des USA et celle des pays européens n’étant pas comparables.

Bref, véritable révolution sur les écrans de télévision, la série nous a offert les inoubliables Capitaine Dobey incarné par Bernie Hamilton (quelque peu parodié dans le jubilatoire Last Action Hero, avec Frank McRae dans le rôle du lieutenant Dekker) et Huggy Jackson / les bons tuyaux, joué par Antonio Fargas. Soit 50% des rôles principaux, je le répète au cas où ça ne serait pas écrit assez clairement (si j’ose m’exprimer ainsi, vu le contexte).

Deux personnages très positifs, en outre. Si le Capitaine Dobey gueulait (à raison) régulièrement contre ses « deux rigolos », il les couvrait à l’occasion de tous leurs (légères) entorses au règlement et dirigeait tambour battant sa division du commissariat du Los Angeles de fiction (renommée pour l’occasion Bay City, mais y a pas à blablater, c’était LA en version anonyme) de la série.
De son côté, Huggy et ses bons tuyaux permettaient au tandem de choc de bénéficier des nombreuses informations que le plus cool des indics pouvait collecter en fréquentant la rue si chère à son cœur.
Alors certes, tu peux trouver un côté caricatural à ce personnage (le noir qui bricole à droite et à gauche, multiplie les commerces plus ou moins déclarés et balance les vilains), mais également considérer qu’il était le véritable intelligence service des deux autres héros. Et en outre un personnage tellement drôle, ce qui renforçait la tendance de la série à mêler comique de situation et enquêtes policières pour le moins musclées, recette qui sera reprise maintes et maintes fois par la suite.


Et la Ford Gran Torino dans tout ça ?

J’y viens.

En bon western policier moderne qu’elle était, la série avait besoin d’une monture pour l’équipage Zebra 3 (indicatif radio de l’équipage formé par le tandem Starsky et Hutch).

L’histoire du choix de cette voiture est pour le moins épique.

En premier lieu, le choix de telle ou telle voiture au sein d’un film ou d’une série est souvent assujetti aux sociétés de location de voitures, ou à des contrats publicitaires de prestige (cf. les voitures de la saga James Bond).
Dans le cas qui nous intéresse, la Gran Torino faisait partie des voitures proposées au sein du catalogue liant les producteurs Aaron Spelling et Leonard Goldberg (les 2 tauliers de Spelling-Goldberg Productions – société productrice de la série) et la société de location de véhicules pour le cinéma et la télévision, filiale de la Ford Motors Company (Ford Motor Company’s Studio-TV Car Loan Program).
Il ne s’agit donc clairement pas d’un véhicule de commande liée à un caprice d’un acteur ou d’un producteur, mais bien d’un choix au sein d’un catalogue, comme quand tu commandes ta pizza à faire livrer chez toi (ou presque).

D’ailleurs, dans plusieurs interviews, Paul Michael Glaser (alias Starsky, le brun, si tu ne connais pas la série) a déclaré qu’il ne pouvait pas blairer la voiture en question, et d’une manière générale, qu’il n’appréciait pas les Ford. Heureusement pour le constructeur, il a déclaré tout cela bien des années après l’heure de gloire de la série.
Pas de bol, en outre, parce que dans la série, c’était SA voiture (Hutch en avait une toute naze et déglinguée).

Comme cela est souvent le cas (pour ne pas dire systématiquement le cas) concernant les voitures utilisées dans les séries et films, la Gran Torino (enfin LES) utilisée(s) dans la série n’étaient pas des modèles… ben de série.

Outre les tellement discrètes bandes blanches qui ornaient la voiture, des modifications mécaniques furent apportés au modèle utilisée dans la série, notamment une boîte à rapports courts, afin de permettre des accélérations plus spectaculaires à la voiture (notamment de nombreux burns), ce qui – associée au couple important de la voiture – la rendait passablement inconduisible pour des pilotes lambdas (c’est là qu’une fois encore nous pouvons dire bravo et merci aux cascadeurs). Genre elle tortillait du fion mieux qu’une dame bourrée (oui j’suis macho ! Un mec bourré aussi ça tortille du fion, mais j’trouve ça moins glamour).

Réplique de la Ford Gran Torino mise en avant dans la série Starsky et Hutch :

Ford Gran Torino : le modèle utilisé dans la série « Starsky et Hutch ».
– Source : Wikipedia / Vauxford, CC BY-SA 4.0 https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0, via Wikimedia Commons –

Discrétion assurée pour les filatures.

Et ces fameuses bandes blanches, parlons-en…


« A striped tomato »

Soit « une tomate rayée », en Français.

C’est Paul Michael Glaser qui fit cette remarque à David Soul (Hutch) en voyant la voiture pour la première fois :

That thing looks like a striped tomato!

Autant te dire que c’était parti pour une longue histoire d’amour entre l’acteur et sa caisse.

Cette remarque fut d’ailleurs reprise par Hutch au sein de l’épisode 6 de la saison 1 : Snowstorm (« La tempête » pour la version française).
Cela marqua d’ailleurs les fans de la série, et devint le surnom adopté par eux pour désigner la mythique voiture.


En France, cela a donné quelques versions home made assez épiques de la Renault 12 (dont la version Gordini offrait déjà un vague aperçu).


Ford Gran Torino : merci Starsky et Hutch !
– Source : Wikipedia / Arnaud 25, Public domain, via Wikimedia Commons –

Ne ris pas, ça fonctionnait très bien.

Maintenant, imagine une Renault 12 rouge avec des bandes latérales blanches…
Oui ben on fait comme on peut quand on a pas beaucoup de thunes, mais de l’imagination et de l’humour (ou une bonne dose d’optimisme).


Réputée pour avoir d’importants problèmes de corrosion et des soucis en termes de fiabilité, la Torino a cessé d’être produite en 1976, et a été remplacée au sein du catalogue par les versions contemporaines de la Ford Thunderbird.


3- Le film Gran Torino de Clint Eastwood


Sorti en 2008, le film Gran Torino de Clint Eastwood a été un gros succès au box-office, tout comme il a été salué par la profession. Il a également fait l’objet de critiques du milieu bien-pensant, toujours ravis de mêler déni de réalité et arguments façon couperet.
Nombreux sont les bobos du monde médiatique à avoir dégainé leurs analyses à deux balles, affublant Clint de tous les maux de la Terre (racisme, populisme, hymne à l’auto-défense et j’en passe), tels de mauvais clones d’un Billy the Kid prompt à dégainer son colt.

Je me demande comment en étant aussi cons, certains ont pu regarder American Story X.

Je ne vais pas faire ici une critique détaillée du film (un de ces jours, peut-être), mais pour ma part il m’a vraiment plu.

Dans un monde de plus en plus manichéen (le camp des gentils vs. le camp des méchants), j’apprécie ces personnages (catalogués conservateurs ou pas) qui chient droit, et non pas en tortillant du fion pour poser des pêches tout aussi malodorantes derrière un pot de fleurs, l’air de rien. Oui.

Walt Kowalski – le personnage incarné par Clint – est un vétéran, qui a vécu prisonnier (comme beaucoup de vétérans) des images et horreurs auxquelles il a été confronté, et conserve de ce fait une aversion irrationnelle envers telle ou telle population (irrationnelle mais basée sur des faits tout à fait rationnels, tout autant que circonstanciels).

Ce qui ressort de ce film reflète à mon avis ce que vit Clint Eastwood depuis des décennies : un patriotisme exacerbé (ce qui est inscrit dans l’ADN même des USA et de sa population), le rejet du système établi (marque finalement paradoxal des gens classés comme conservateurs), des blessures non soignées qui laissent donc des traces durables, et malgré tout cela, un gros fuck it all quand il est confronté à la réalité d’un gamin perdu et de sa sœur violée par des connards auxquels les bien pensants trouvent toutes les excuses du monde (c’est pas leur faute, c’est la société qui les rejette, ce sont de gentils gars dans le fond et tutti quanti).

Bien j’t’ai dit que je ne ferai pas une critique détaillée du film, mais voilà en résumé ce que j’en pense.

Sinon, le film est nommé en l’honneur d’un personnage presque principal : une Ford Gran Torino qui fait la fierté de son propriétaire, et qu’il lèguera au gamin qu’il a pris sous son aile, malgré tout son vilain racisme primaire (à tel point qu’il se fait trouer la peau pour lui sauver la mise, c’est dire que c’est vraiment rien qu’un enculé de raciste face aux blablateurs bien pensants qui ne font jamais que mouiller leur culotte sur les canapés de leurs salons de prédilection).

Cette voiture, c’est la fierté d’un États-Unien moyen, vétéran de guerre et – oui dans le cas présent – conservateur à souhait. Et du genre à considérer que les victimes doivent être plus défendues que les enculés qui les martyrisent. Oui ceci n’est pas politiquement correct. Mais humainement plus que défendable. Fin’ bref.
Walt est en outre nostalgique de cette époque où toutes les voitures achetées aux USA étaient fabriquées dans son pays, et que l’acquisition de l’une d’entre elles avait valeur d’un symbole de fierté et d’une certaine réussite sociale due à ses seuls efforts – surtout dans les milieux populaires (ceux-là même que les bobos vomissent), à l’instar de ce que pouvait représenter l’acquisition d’une Citroën GS dans les années 1970 en France, pour un ouvrier (à l’époque où notre pays avait encore une industrie conséquente).

La Gran Torino ainsi perçue devient un personnage à part entière – ce qui confère sa légitimé au titre du film, symbole d’une possession patrimoniale & patriotique, bien chérie par son propriétaire et qu’il offre en cadeau rédempteur à son protégé, membre de cette partie de la population états-unienne qu’il prétend vomir, mais pour laquelle il va sacrifier sa vie, ce qui est ici encore un acte de rédemption.

Tout cela étant dit, passons aux bonus tracks.


4- Bonus tracks


Le générique de Starsky et Hutch :

– Source : Youtube | Lionel Leroy / Générique en Français de la série Starsky et Hutch –

Le générique de la série aux USA ne présentait pas une chanson, mais simplement un instrumental, qui changeait au fil des saisons.


Gran Torino / Theme Song :

– Source : Youtube | Clint Eastwood & Jamie Cullum / Grand Torino’s Theme Song –


Si la Ford Gran Torino a connu sa plus grande heure de gloire au travers de la sérié Starsky et Hutch, elle a également connu une carrière au cinéma, outre le film éponyme.

Notamment, il s’agit de la voiture du génial Jeff Bridges dans le film The Big Lebowski (pépite qui offre entre autres moments délicieux l’une des scènes de dispersion de cendres les plus épiques du cinéma).
Jeff tient le rôle du personnage principal du film : Jeffrey « The Dude » Lebowski (Dude ayant été traduit / remplacé en Français par… Duc… pas sûr que la société française de distribution ait recruté le meilleur interprète qui soit).

Voilà mes chéris, je suis sur le coup pour quelques autres articles en lien avec des automobiles qui ont marqué la culture – cinématographique ou populaire. Même qu’il y en a une qui est citée au sein de cet article.


Bisous mes chéris 🙂

Olivier



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Notes rédactionnelles & mises à jour :

Article mis à jour le 21/01/2023 (CG-RYL-2023).
Article mis à jour le 21/12/2022 (Norme RYL-12-2022).



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