Essai BMW F 900 XR & Ride Estérel
6 février 2022Essai BMW F 900 XR & Ride Estérel : quelques jours au guidon de la (alors) nouvelle version du trail 900 cc de chez BMW Motorrad.
Une belle opportunité pour se promener dans le sublime Massif de l’Estérel.
SOMMAIRE :
1- Le Contexte
3- Les balades dans le coin alors ?
4- Mini-ride 1 : La Corniche de l’Estérel (ou « Corniche d’Or »)
5- Mini-ride 2 : Massif du Tanneron et Lac de Saint-Cassien
7- Bonus Track
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Surtout, fais-toi plaisir ! Et à nous également, par la même occasion 🙂
1- Essai BMW F 900 XR | Le Contexte
Quelques jours de congés en plein massif de l’Estérel durant l’été 2021, plus précisément du coté des Adrets de l’Estérel : les derniers kilomètres en voiture me font faire
« Whouaouh ! Mais c’est fait pour la moto ici ! »
Évidemment, je crève de rage de n’avoir pu descendre ma Multistrada 1260 de la région parisienne. Elle est tellement faite pour ce genre de route sinuo-montagneuses…
Mais bon, j’ai pris la précaution d’emporter mon casque, mes gants et mes baskets moto (tiens, mais pourquoi pas mon blouson été ???) « au cas où » .
Au cas où quoi d’ailleurs ?
Ben où on pourrait louer facilement et au dernier moment des motos dans le coin. Entre Fréjus et Cannes mon cœur balance… les recherches internet me permettent de dénicher ce qui semble un bon rapport qualité-prix et qui serait aussi (c’est toujours mieux) disponible : ce sera un loueur sur Cannes et une BMW F 900 XR full option pour 4 jours.
Eh oui, quand on a une Ducati et ayant renoncé aux quelques Harley proposées et autres moto trop chères ou bien trop pâles du genou, il faut savoir se faire violence pour rester raisonnable en budget (je ne sais pas pourquoi j’ai un a priori : je ne suis pas fan de béhème).
Mais bon, un gros twin avec électronique top moderne sur un châssis façon trail routier je ne devrais pas être trop dépaysé.
Quelque temps après avoir payé ma résa, coup de fil du loueur la veille de la récupérer (merde, il va me dire qu’elle n’est plus dispo ?) : « Vous êtes déjà dans le coin ? Ça vous dirait de passer la prendre ce soir plutôt que demain 9h ? ».
Ah bah oui m’sieur, pas de lézard.
Cerise (on the cake) : le soir en la récupérant : « Au fait la rendre dans notre agence de Fréjus plutôt qu’à Cannes cela vous serait possible ? ».
Je fais semblant de réfléchir (on est à mi distance à peu près en fait…).
Chercherait-il à me convaincre : « Lundi matin 9h30 plutôt que dimanche soir ça vous dit ? ».
Tope-là !
[NDLR : comment qu’ça un fait un give-me five, un poulpe ?]
Je feins d’être à moitié enthousiaste, mais l’idée d’avoir ma loc’ de 4 jours étalée sur 6 sans payer un cent de plus me va en fait plus que bien.
Y a pas de petites économies. Et y a du roulage en plus.
2- Essai BMW F 900 XR | Quelques mots sur la moto
[NDLR : déjà parce que dans « Moto », il y a « Mot »]
Premières impressions
A vrai dire je ne savais pas trop à quoi m’attendre.
Je savais que sa grande sœur (elles se ressemblent quand même pas mal) la S1000 XR (un 4 pattes vitaminé de 162 ch et 114Nm – mais bon faut aller dans les tours) a ses fans pour ses qualités routières (oui je suis cohérent : je possède un faux trail, donc je n’avais pas prévu de faire du off road, je voulais donc une moto qui, avant tout tienne le bitume en sécurité) et aussi pour sa patate.
Je savais aussi que sur la 900 c’était un moteur chinois (Twin paralllèle 105 ch et 88Nm à 6500 trs/mn) jugé un peu plon-plon (linéaire) mais efficace.
Cette moto est plutôt globalement une bonne surprise : de grandes qualités et quelques défauts of course.
Elle me semble d’un rapport qualité prix correct (si BMW n’avait pas une politique odieuse en terme d’options : la machine de base est indigente. Heureusement le loueur la propose en full option…) selon l’usage que l’on veut en faire. Pour les balades dans le coin elle s’est révélée plutôt très cool et adaptée : sensation de grande légèreté, finesse de l’engin (on a pas l’impression de chevaucher un tank comme sur une 1250 GS. Bon ça, c’est fait…) et de maniabilité, en dépit d’un poids respectable de 219 kg TPF. À coté de ma 1260 qui fait un poids proche (215 kg, mais « à sec ») et est déjà très maniable, j’avais la sensation d’avoir une mob’ (très musclée) entre les mains.
[NDLR : une mob’… gna gna gna…]
Coté maniabilité je veux dire parce que pour le reste c’est loin d’être une mob’ : la (les) bonne(s) surprise(s) c’est la tenue de route, le freinage, les assistances électroniques qui m’ont semblé irréprochables.
Je m’y sens aussi en sécurité que sur ma Ducat’ avec un brin de légèreté et de moindre encombrement en sus (surtout à l’arrêt…). Coté suspensions, rien à dire si ce n’est un léger côté « cheval à bascule » dans certaines circonstances mais rien de catastrophique.
Elle a un frein moteur costaud et ça, dans le coin, c’était plutôt une fort bonne idée. Alors parlons en du moteur justement . Bon ben c’est pas si mal, il fait le job et se montre agile et fluide dans cet environnement au relief et aux lacets marqués ; plutôt souple à bas régime (attention, pour un twin super carré je veux dire…) ; plus que ma Ducat’ j’en conviens. Il est quand même un peu mou en mode « rain », correct en « road » et (presque) pétillant en mode « dynamic ».
Ça reste à 1000 lieues de la rage d’une tracer 900 bien sûr et rien à voir avec le coup de pied au cul et l’allonge interminable de ma Ducat’ non plus, mais ça marche bien et donne même du plaisir. Il trouve ses limites en duo dans les montées où, disons-le, le poids du passager se ressent assez nettement.
À ceux qui disent
« C’est n’importe quoi la course à la puissance (et au couple) des motos aujourd’hui ; 100 ch c’est déjà bien assez »
quand ils ne disent pas « bien trop »…
[NDLR : ça, c’est pour moi… gna gna gna… sagouin ! T’sais c’qu’il te dit l’cassis ? 😀]
Je réponds toujours que « ben non, pas en duo avec bagages en région montagneuse » (si on veut être confort et pas avoir à « tirer sur la bête » j’entends).
[NDLR: et quand t’es tout seul, sans bagage et sur route nationale ou même autoroute, tu vas encore me dire que ça n’est pas too much, spice di filou]
Le bestiau était doté d’un shifter up&down qui marche très correctement (encore mieux en down qu’en up à mon sens, mais mon seul point de comparaison c’est la multistrada 1260). Je ne connaissais pas l’usage du shifter avant d’avoir ma Ducat’. Très doux en downshift sur la béhème en tout cas. C’est vrai que c’est un régal, ou un confort, selon les circonstances ce petit gadget.
Quelques défauts…
Ça vibre un peu. Bon, ça ce n’est pas étonnant ; et pas trop gênant sauf… le retour de vibrations dans le guidon (surtout main droite). Après quelques dizaines de bornes, on le ressent vachement : fatigue très désagréable dans la main et le poignet. Sur route roulante et autres autoroutes, on met le cruise control avec un « ouf » de soulagement et on repose tranquillement sa main droite sur le genou.
À propos d’autoroute, la protection au vent est un peu légère. La machine reste stable au légal, mais on ne se voit pas faire 100 bornes sans pause quand même…
Sans compter que le mal au cul lié à une selle qui n’est confortable que la première demi-heure vient (en conséquence) assez vite.
Oui, comme le disent pas mal de critiques, le moteur manque un poil de caractère. On se fait plaisir, mais ce n’est pas la grosse banane sur le visage (comme avec ma Ducat’). Surtout qu’en machine de base vous n’avez pas le mode « dynamic » !!! Ca c’est béhème : en gros, il faut un pack en option pour avoir une machine non bridée…
Enfin, je ne dois pas être doué, mais le point mort ne se trouve pas si facilement. N’y a-t-il donc que les Japonais qui sachent faire des boîtes précises ? Mais de ce point de vue, le pire était à venir sur une autre moto fabriquée sur un autre continent et louée quelques jours plus tard dans un autre coin du sud-est (à suivre… un de ces jours…)
3- Essai BMW F 900 XR | Les balades dans le coin alors ?
La région est riche en routes magnifiques et géniales à faire. Un peu techniques parfois aussi. Je ne regrette d’ailleurs pas d’avoir pris une moto hyper agile (j’admets volontiers ne pas être un motard hyper expérimenté non plus). D’ailleurs c’est si génial la région, que du motard on en croise, et des « V » on en fait à la pelle.
On en entend aussi il faut le reconnaître (pas encore que des Euro 4 voire 5, poignées dans le coin sur des 4 pattes, et sans doute trop peu de pots d’origine aussi). Pas sûr que j’aimerais être riverain en pleine saison ni même à l’année. On a beau être fan de moto, difficile de penser que cela ne sera pas un problème dans les années à venir. Durcissement des règles, des contrôles, voire interdictions de certains axes sont devant nous, comme c’est déjà le cas dans certains pays/régions.
Soyons responsables sinon nous finirons par ne plus pouvoir rider.
[NDLR : il y a pire comme vue. Comme je t’ai dit, ça me fait sensiblement penser à Messey-sur-Grosne]
Cette parenthèse faite… passons à la première balade…
Besoin d’équipement moto vintage pour ton fier destrier ?
Pense à jeter un coup d’œil sur le site de Classic Ride – nous te proposons un aperçu de leur offre ci-dessous :
4- Mini-ride 1 : La Corniche de l’Estérel (ou « Corniche d’Or »)
Bien sûr, il ne faut pas rater cela. Une des plus belles corniche de la French Riviera. Une route construite en bord de mer à l’initiative du Touring Club de France qui jouxte souvent la voie ferrée du Paris-Nice. Elles est très bien entretenue et je n’ai aucun souvenir de nid de poule.
Parc naturel oblige, on y voit beaucoup d’espaces sauvages et c’est finalement très peu bétonné. Le rouge, le vert et bien sur le bleu et le turquoise méditerranée dominent sur cette route somptueuse et très bien entretenue avec même un goudron rouge quasi neuf aux alentours de Théoule sur mer.
J’ai démarré la petite balade en commençant par descendre la D237 depuis les Adrets de l’Estérel, une route très étroite et très sinueuse qui demande toute votre attention (on ne risque pas de dépasser les limites de vitesse mais plutôt de ne jamais passer la troisième et pas si souvent la seconde…. Et moins on croise de véhicules, mieux on se porte), avant de rejoindre la DN7 (ex N7) et de la descendre vers Théoule sur Mer. Et la c’est déjà magnifique : massif de l’Estérel sur la droite (enfin ça dépend parce que ça tourne déjà pas mal…), baie de Cannes/golfe de la Napoule en face, route relativement large et en très bon état, des virolos comme s’il en pleuvait (certains peuvent se resserrer, gaffe quand même…). On démarre ensuite la D6098 au bord du golfe de la Napoule, pas très loin du joli château du même nom, en entourant le mont Turney puis direction Fréjus.
Passé une partie surplombant légèrement la mer (et les Yachts de milliardaires) en allant vers la pointe de l’aiguille, on alterne ensuite jolies villas et hôtels en bord de mer, criques aux eaux turquoises et surtout de vrais paysages de western qui selon les éclairages prennent différentes couleurs (à la base les roches sont rougeâtres comme on se les imagine sur Mars et parfois vertes – si, si).
[NDLR : alors les Martiens sont donc peut-être bien verts ?]
Parlant d’hôtel, nos yeux ne peuvent rater « Le palais Bulles », à l’architecture improbable, surplombant la Calanque des Deux Frères, surnommé par ma femme « les maisons Schtroumpf » et par nos enfants « les maisons des Télétubbies » (je leur donne plutôt raison ; enfin non finalement c’est juste n’importe quoi, encore plus que l’idée des habitations pour Schtroumpfs ou Télétubbies, même si, dans ce dernier cas, c’est bien difficile).
La route change de numérotation au Trayas et devient D559, mais bon, c’est purement administratif, techniquement c’est la même route… et son entretien reste très bon.
À propos du Trayas, j’en profite pour dire qu’on peut se risquer à s’éloigner un peu de la mer par quelques chemins desservant des villas çà-et-là tout au long du trajet. On y trouve de jolis panoramas. C’est le cas sur les hauteurs du Trayas ou vers la pointe de l’Aiguille. Attention, les voies sont parfois privées et surtout très étroites avec aussi des épingles à cheveux en dévers qui piquent un peu les yeux du motard faiblement chevronné. Mais cela vaut le coup : les points de vue sont magnifiques.
En arrivant à Saint Raphaël, on peut toujours faire une pause et prendre une glace sur le port de plaisance. Manifestement certains plaisanciers locaux sont des riders, vu les décos (voir photo -ci-après)…
Enfin le final : on remonte depuis St-Rapahël/Fréjus via la DN7 (ex N7) direction les Adrets. Un vrai dessert pour terminer la balade : tout en montée, paysage sauvage, belle route sinueuse assez « sportive » par endroit, modérément fréquentée, en bon état global. La F 900 XR s’exprime un peu et s’aère les poumons. On peut ouvrir un peu les gaz (pas de quoi dépasser les limites parce que ça tourne quand même beaucoup et parfois assez sec en se refermant – bon on est pas à Pikes Peak non plus et on veut profiter du paysage aussi), mais surtout travailler ses virages sécurité (cela sauve la vie souvent). Ici même, peu de temps après mon petit tour de l’Estérel, une famille d’amis a vu en venant chez nous, un motard ramassé dans le fossé par les gendarmes. « Il s’en sort bien » disaient les pandores. Grâce à son bon équipement, cela va de soi. Et là, devinez quoi… Je pense à mon blouson oublié à Paris et à ce loueur fort sympathique et dont je suis très content mais qui ne loue pas de blouson (d’autres le font). Lorsque les amis me racontent ce motard dans le fossé j’imagine aussi en même temps la grande proportion des virages de cette DN7 qui ne pardonneraient pas une (même petite) sortie de route (tout simplement pas de fossé, ravin ou muret de pierre…).
L’équipement est juste indispensable. Mais cela ne suffit pas. Il faut aussi rouler à son niveau, ce qui suppose de le connaître, et avec des marges toujours importantes par rapport à celui-ci, ce que l’on oublie souvent. L’imprévu peut survenir partout (un peu d’huile sur la route, un caillou un peu gros, un usager qui a oublié qu’il n’était pas seul sur la route, un gars en panne à la sortie d’un virage sans visibilité, un virage qui se referme bien plus qu’on l’a anticipé, un troupeau de cyclistes, un scooter – eh oui il y en a, un sanglier – eh oui il y en a aussi…).
Pavillon noir !
Savoir qu’il y aura des imprévus, c’est ce qu’il y a de plus facile à prévoir d’ailleurs.
C’était la minute moralisation avant de passer à la balade suivante.
[NDLR : et le rédaction te remercie grandement d’avoir rappelé tout cela, mon bon Poulpe que j’aime]
La superbe Route St-Rapahël / Fréjus via la DN7
Lecteur chéri, tu as loupé le bateau avec un pavillon pirate ? Le voilà >>
Criques, eaux turquoises et paysages de western
5- Mini-ride 2 : Massif du Tanneron et Lac de Saint-Cassien
Le massif du Tanneron se situe juste à côté du massif de l’Estérel, il est aussi surnommé « Massif du Mimosa » et il y a donc une « route du Mimosa » qui le traverse. Bon, comme je l’ai parcourue au mois d’août… autant vous dire que le Mimosa se voyait moins bien. Pour autant ce tout petit circuit reste magnifique.
Même début que la balade précédente avec cette fois descente sur Mandelieu où on récupère la D92 (ou « route de Tanneron ») près de l’échangeur de l’A8. Là ça serpente tout de suite en montée d’abord en milieu urbain (maisons et villas) puis rapidement dans un paysage sauvage. La montée est superbe dans la végétation méditerranéenne et la route en état très correct la plupart du temps mais pas très large. Nombreux virages souvent accentués : je suis finalement plutôt content d’avoir pris une très agile F900 XR, au lieu d’une grosse Harley comme je l’envisageai à l’origine.
On découvre progressivement des vues sur la vallée de Grasse à Cannes, où coule notamment La Siagne.
La route se poursuit avec quelques descentes et il faut rester prudent : j’ai croisé un joli trou qui aurait englouti facilement la moitié de la moto. Heureusement il était signalé et balisé…
En rentrant dans le Var la route devient D138 (« route de Mandelieu », c’est logique…). Puis on prend la D38 vers Tanneron et Lac de Saint Cassien. Arrivé à Tanneron il y a suffisamment de civilisation pour qu’on puisse boire un coup si on veut en profitant des vues en hauteur de ce joli petit village. Ensuite on peut soit poursuivre sur la D38 et viser le milieu du Lac, ce que j’ai choisi puisque j’étais attendu pour déjeuner, soit prendre la D94 et entourer le Lac et plus si affinités.
L’avantage de la D94 est qu’elle permettrait d’aller aussi vers la vallée de la Siagne avec pas mal de petites routes très étroites et sinueuses emmenant vers de nombreux coins connus des randonneurs, avec des Villages en hauteur magnifiques (Saint-Cézaire sur Siagne, Montauroux et bien sûr plus loin Fayence, etc.) et quelques coins de paradis pour casser la croûte sur la Siagne (pont des Tuves ou plus en amont encore : absolument sublimes paysages de rivière à truite).
Revenons au Tanneron. Ce versant nord du massif est infiniment moins sec que l’autre.
Je prends la D38 et, progressivement, la route devient ombragée et traverse une jolie forêt, d’abord variée, puis de conifères. Elle descend en zigzaguant sévère vers le lac. Là encore pas de risques d’excès de vitesse mais plutôt des risques de transformer un « pif paf » en pif et…. PAF le camion (ou le cycliste). D’ailleurs on en croise quelques uns, de camions, de tailles suffisantes pour prendre plus des deux tiers de la route.
La longue descente se termine sur le superbe Lac de Saint-Cassien, très fréquenté par les baigneurs et adeptes de sports nautiques ou encore de pédalos ou autres structures gonflables.
Le retour se fera en passant au dessus de l’autoroute A8 au niveau de la sortie qui permet de rejoindre les Adrets.
Au bilan, une petite balade mais qui ne déçoit pas, tant pour le paysage que pour travailler ses trajectoires « tous virages ».
À refaire avec le mimosa en fleur.
6- Essai BMW F 900 XR | Conclusion
Voilà les amis, c’est tout pour cet Essai BMW F 900 XR et ces quelques mini-rides.
[NDLR : et du côté de Messey, kedale, donc ?]
À suivre pour d’autres mini-rides dans la Baie de Saint-Tropez et du côté de Ramatuelle… et un autre essai.
Ride wide and wild but safe
Mark The Poulpe
Découvre un autre trip moto bien sympathique :
TT Île de Man 2013 : Patrick y était !
7- Bonus Track
Obligé.
Une jolie pochette avec la très belle Radiah Frye (la moman de Mia – merci Chacalou pour cette information), qui a accompagné Nino Ferrer en tant que chanteuse / choriste sur l’album Nino and Radiah sorti en 1973.
@ Patrick de Black Bonnie : elle a été censurée celle-là, de pochette, ou pas ?
J’espère bien que non, cela meurtrirait mon cœur de poète.
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Article mis à jour le 18/01/2023 (CG-RYL-2023).
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AUTEUR(S) DE L’ARTICLE :
- Essai BMW F 900 XR & Ride Estérel - 6 février 2022
VOTES | PARTAGES | COMMENTAIRES :
Sympa cet article.
Elle m’a bien tapé dans l’œil cette BMW, mais les remarques sur le prix en mode full option me font réfléchir à 2 fois.
J’ai eu 2 vieux modèles, achetés d’occasion (du temps des motos rustiques, sans tout ce bazar électronique), et je ne connaissais donc pas les pratiques du fabricant en la matière.
Merci pour l’info et pour les photos, vraiment superbes.
Malheureux !
Ne dis pas ça, il va me demander à être payé le double ! 😀
Remarque, vu que je le paye 0, 2 fois 0, ça fait 0 tout de même :p
Tu me fais trop rire! 🙂
C’est vrai qu’avec tous ses tentacules, il pourrait écrire 4 articles à la fois!!! tout « bénef » pour RYL.
C’est vrai qu’il est bon not’ Poulpe.
J’crois que j’vais lui laisser les clefs de RYL :p
Bisous mon Frérot
Merci, merci et …merci, à notre « poulpe » bien-aimé pour ce fantastique moment de dépaysement et de franche rigolade!!! 🙂
Prose magnifique, avec des pointes d’humour dignes du « Joe’ Bar Team ».
Merci mon « poulpe adoré » pour ce moment de détente intense !
À très vite, et au plaisir de te lire à nouveau.
Gilles
Mon Poulpe bien aimé,
Ton article m’a donné envie de passer mon permis moto.
Je l’aurai un jour, je l’aurai. Ou pas.
En tout cas, un grand merci pour ce dépaysement fort bien venu en cette période maussade.
Bisous <3