Premier Contact | Arrival

Premier Contact | Arrival

11 décembre 2021 0 Par Olivier - Ride Your Life
Temps de lecture estimé : 11 minutes
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Premier Contact | Arrival, c’est une pure merveille, à tous égards.

Le Sujet, les Acteurs, la Musique de Max Richter, le Réalisateur…


Voilà un moment que je souhaitais publier cet article.
Le moment est… arrivé, pour un premier contact ici-même avec ce film exceptionnel, de bout en bout.

Je ne suis ni cinématologue, ni expert de l’analyse machin, ni amateur éclairé.
Je souhaite juste partager avec vous – parce que je vous aime – quelques beaux moments de cinéma, parmi les milliers que cet Art a pu nous en offrir.

ATTENTION : il est possible qu’il y ait quelques légers éléments de spoil concernant le film au sein de cet article.

Trêve de bla bla, action caméra (ou presque) !


SOMMAIRE :


1- Sujet du Film

2- Le Casting (de rêve)

3- La Musique de Max Richter

4- Le Réalisateur

5- Conclusion

En Savoir Plus >>

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Surtout, fais-toi plaisir ! Et à nous également, par la même occasion 🙂


1- Premier Contact | Sujet du Film


Le Pitch, comme on dit de nos jours

Ou « comment te trouver face à un dilemme » : spoiler un film, ou te contenter de ce que certains critiques ont retenu du film.


J’te l’fais d’abord façon mauvais programme télé

« Des vaisseaux en forme de cigare géant entrent dans l’atmosphère et se positionnent à différents points du globe…
Mais que veulent-ils, nom d’une pipe ?
Pars vite le découvrir, y a une équipe de choc et des extra-terrestres.
»

Là c’est clair, avec un tel résumé, tu perds une bonne partie de l’audience. Pour ne pas dire que tu ruines un film d’exception.

Reviens par ici, je vais te présenter cela différemment, et sache que dans la mesure où je vais me livrer à une analyse qui n’engage que moi, à tout moment je risque de me vautrer.
Mais j’ai vraiment envie – si tu n’as jamais vu ce film – que tu aies envie de le découvrir.


Mon pitch à moi

Derrière la très réductrice description cosmétique du film (« machin truc avec des cigares volants et des aliens »), il y a un trio d’acteurs exceptionnels qui délivrent – emmenés par un réalisateur fantastique et un écrivain brillant, auteur du roman L’Histoire de ta vie, dont le film est une adaptation – une réflexion brillante autour du thème « La vie vaut-elle d’être vécue si l’on connait le scénario à l’avance ? ».

Il y a de nombreuses autres thématiques abordées au sein du film, mais celle-là, c’est la centrale.

Sans vouloir me la péter, je trouve que c’est plus vendeur que le truc des cigares volants et des aliens.
Même s’il y a tout cela dans le film (j’dis ça au cas où ça serait ton kiff).

Hein qu’c’est plus bien mieux ? Sérieux… Nan ?


Allez, c’est vendu.
Que tu kiffes les soucoupes volantes et les aliens ou bien les réflexions profondes autour de la vie, ce film réunit les deux, mieux encore qu’une imprimante moderne ne réunit les fonctions d’imprimante et de scanner.

Nan là c’est pas bon, j’risque de te perdre ?

Que tu kiffes les soucoupes volantes & les aliens ou bien les réflexions profondes autour de la vie, ce film réunit les deux, avec finesse, douceur et une ambiance qui ne saurait laisser indifférent.

Voilà c’est mieux sans la comparaison avec les imprimantes multifonctions.


2- Premier Contact | Le Casting (de rêve)


Je vais ici me concentrer sur les 3 acteurs principaux du film : Amy Adams, Jeremy Renner et Forest Whitaker.

Parce que ce sont des acteurs que j’apprécie beaucoup en général, et que dans Premier Contact, ils crèvent tous les trois l’écran.


Amy Adams | Docteur Louise Banks


La sublime et belle Amy Adams (non, elle ne s’appelle pas Ralph… roh…) incarne le docteur Louise Banks, éminente linguiste conviée par les autorités du pays qui sauve tout le temps notre cul (dans les films de leur cru), ceci afin de servir d’interprète entre les poulpes ET et les humains.

Parce que voilà, nos poulpes à 7 membres – les Heptapodes – ben même pas ils parlent Anglois. Ni même Français, Espagnol, Croate.

Rien, kedale. Ils forment des cercles chelous avec un genre d’encre (tu vois la référence aux poulpes).

Alors forcément, il faut une linguiste ; Picasso aurait pu être appelé à la rescousse, mais ça n’aurait chronologiquement parlant – gag vu le sujet du film – pas été possible.


Son personnage dans le film


Le film étant construit autour de paradoxes temporels, Louise a régulièrement ce qu’elle interprète comme étant des visions d’une vie qu’elle n’a pas vécu, avec une petite fille – sa fille – à différentes époques de sa vie.

Femme forte enrobée (sans que cela ne gâte sa magnifique silhouette) de douceur, elle sait s’engager avec le courage d’un marines quand cela est requis.

Sa prestation est très souvent soulevée au sein des commentaires sur Youtube, ce que je comprends et à quoi j’adhère, mais je trouve dommage d’oublier qu’il y a 2 autres pépites au sein du casting.

Amy Adams | Docteur Louise Banks dans le film « Premier Contact ».
– Source : Wikipedia / Patrick L., CC BY-SA 2.0 https://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0, via Wikimedia Commons –

Ben les 2 aut’s pépites, j’en cause ci-après, précisément.


Jeremy Renner


Jeremy Renner ; Ian Donnelly dans le film « Premier Contact ».
– Source : Wikipedia / Gage Skidmore, CC BY-SA 3.0 https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0, via Wikimedia Commons –

Jeremy Renner joue le rôle du physicien Ian Donnelly.

Je ne l’ai jamais trouvé aussi beau que dans ce film.
Ça n’est pas une question de maquillage ; c’est de la vérité brute. Il a tout compris à ce personnage, et il le fait vivre au point que ça m’a donné envie de le prendre dans mes bras et de lui dire « ça va aller, mon pote »

Habitué aux rôles de gros bras dans des films d’action ou de super-héros, Jeremy Renner nous compose ici un pur rôle d’antihéros.

Et tu le sais bien, les antihéros sont souvent les plus magnifiques héros, en fait.


Son personnage dans le film


Ian Donnelly est donc un physicien.
Descriptif de poste super précis, nous en conviendrons.

Dans une bonne team de sauveurs de l’humanité dans un film US, il faut des savants, tout plein (comme pour juguler une pandémie, vois-tu) : un physicien, ou astrophysicien, et plusieurs autres savants, puis généralement un ou plusieurs gros bras.

Ian sait mettre sa paire de roupettes sur la table au bon moment afin de couvrir les arrières de la belle Louise, une fois encore sans jouer les gros bras.
Du vrai bonhomme, donc.

Et l’on comprend – plutôt à la fin – encore mieux toute sa fragilité.

Même pas nommé aux zoscars

La vérité, ça fait de la peine.


Forest Whitaker


Forest Whitaker est le Colonel Weber, dans le film.

Quand je vois Forest Whitaker dans un film, j’ai souvent presque envie de pleurer.

Il est né pour être dans la lumière. Il est la lumière, d’ailleurs.

Forest ne donne pas dans le jeu outrancier. Il a un regard, un sourire et des mimiques sobres qui en disent des kilomètres. Il pourrait jouer tous ses rôles assis dans un canapé qu’il resterait exceptionnel.


Son personnage dans le film


Le Colonel Weber est donc le chef militaire de service du trio de service de la team de sauvegarde de l’humanité dans le film.

Il est révélateur de ce que sont les militaires dans la vie : trop souvent perçus comme les bourrins de service, ils ne s’engagent que pour défendre une nation (parfois une autre dans le cadre de missions internationales). Les gros bourrins, ce sont ceux qui les « emploient », les envoient au carton en jouant à Sim City grande échelle.

Le militaire, lui, il n’a pas le choix.
Il s’est engagé, et reçoit des ordres. Même le général en chef en reçoit (sauf dans quelques régimes qui se passent des considérations démocratiques, mais ceci est un autre débat).

Alors oui, il y a dans le film quelques clichés concernant d’autres militaires (t’sais, les compulsifs du C4 utilisé à fin de régulation des mouvements potentiellement hostiles du camp d’en face).
Le gros con, c’est souvent le faire-valoir des héros ou antihéros.

Mais Forest, lui, il reste Forest : il est magnifique.

Forest Whitaker : Colonel Weber.
– Source : Wikipedia / Georges Biard, CC BY-SA 3.0 https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0, via Wikimedia Commons –

L’Alchimie entre les 3 Acteurs Principaux

« Forcément, avec une telle équipe, ça ne pouvait qu’être le cas »

Euh… En fait, pas forcément.

J’veux dire que si nous établissons un parallèle audacieux (mais point dénué de sens) entre le cinéma et le sport, puisque nous causons d’équipes… Il y a tout de même des exemples d’échecs cuisants de réunions de superstars ne sachant pas bien jouer en équipe.

Pour un film, c’est pareil.

Tu prends Copland, c’est une très grande réussite. Tu prends la saga Star Wars par Disney, ça ne prend pas. Z’ont pas kiffé, ça se ressent.

Bref, savoir jouer en équipe, ça dépend du réalisateur / directeur d’acteurs, pour un film, et de l’entraineur pour une équipe sportive… et bien entendu des différentes individualités.

Tu peux avoir tout le talent du monde, si tu es infichu de jouer en équipe, ben ça ne prend pas, ou alors ça donne un film (ou une équipe) bancal(e).

Bonne nouvelle : Premier Contact a recruté une super équipe, à tous les niveaux.

Là je m’attarde forcément sur mes 3 chouchous, et je dis que ça prend merveilleusement bien.

Le tandem Amy Adams / Jeremy Renner, tu as l’impression qu’il a joué de nombreuses fois ensemble.
Forest, lui, c’est un extra-terrestre. Tu peux le mettre dans n’importe quel casting, même avec des mauvais, il bonifiera l’ensemble. Alors avec des très bons…


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3- Premier Contact | La Musique de Max Richter


Tu observeras que l’essentiel de la B.O.F. n’a pas été composé par Max Richter.

Pour autant, son morceau « On the Nature of Daylight » (un jeu de mots avec « delight » / plaisir) résume – pour ce qui me concerne – à lui seul tout le film.

Max Richter est un grand amateur de Vivaldi. Le compositeur, pas la société (enfin j’en sais rien en fait, mais disons que je sais qu’il apprécie tout particulièrement le compositeur Vivaldi).


Une version « simple » tout autant que magique

– Source : Youtube | Max Richter et l’ACME (non, ça n’est pas une blague… juste un running gag) –

Juste quelques mots sur ma mention au running gag associé à l’acronyme ACME…

Dans le cas qui nous intéresse – les musiciens qui accompagnent Max à l’occasion de ce concert – ACME désigne l’American Contemporary Music Ensemble.

Si je fais donc référence à un running gag, c’est que cet acronyme est un clin d’œil aux cartoons de la Warner, avec notamment le pôv’ Will Coyote qui commande tout un tas de gadgets plus ou moins improbables auprès d’une société de vente par correspondance (les USA ont toujours été très en avance sur la France dans ce domaine) du nom d’ACME.
Lesquels gadgets divers et variés se retournent systématiquement contre Will, parce que les lois de la physique ont décidé de l’emmerder. Juste lui.


On the Nature of Daylight : les 4 saisons en 1 morceau

Les pangolins du jury des zoscars n’ont même pas été fichus de nommer ce morceau d’anthologie dans le cadre de la remise des statuettes dorées.
Sur ce coup-là, il se sont comportés comme des cuistres…
Je n’ai même pas envie de savoir ce qui a été proposé dans cette catégorie, face à une telle bévue.

Revenons à nos Quatre Saisons by Max Richter.

Bien entendu, ce que j’écris n’engage que moi. Sinon je serais PPG ou autre leader d’opinion.

Le début du morceau – violoncelle & violon dans cette version – est disons plutôt mélancolique. Il m’évoque l’hiver.
C’est une partie mélancolique, lancinante.

Arrive le premier contrepoint (alto) vers 1m36. Là, ça sent l’éveil. Je pense au printemps.
L’explosion de la vie, le retour aux affaires de la biologie endormie.

Vers 3m12s, tu as un second contrepoint, et là, tu plonges en été. Un été délicieux, pas étouffant, mais tu sens bien que tu as envie d’aller flâner au bord d’une rivière, à l’ombre d’un peuplier, avec ta chérie (ou ton chéri), ou des potes.

Puis l’été se dissipe, doucement, et laisse sa place à l’automne, la vraie saison de la « descente ».
Bientôt, les feuilles mortes se ramasseront à la pelle, la vie se recroquevillera sur elle-même, afin de recommencer son cycle dès l’hiver.

Quelques minutes et tu as vécu 4 saisons. Le cycle de la vie condensé, au gré des saisons.

Max Richter est un pur génie de la musique.

Je souhaite par ailleurs t’annoncer une merveilleuse nouvelle : même si en hiver, tu te cailles les roupettes (ou aut’ chose si tu es une dame, mais sache que ma réserve l’emporte systématiquement sur ma verve – attends je me relis : V E R V E, ok, c’est bon, pas de faute – et que je n’oserais dire ce que tu vas te cailler, mylady), réconforte-toi en te disant que dès le solstice d’hiver, tu regagnes chaque jour quelques minutes de soleil en plus.
Et le solstice d’hiver, dans notre hémisphère nord (oui parce que les Australiens et consorts, il ne font rien comme nous), à date de publication de cet article, c’est dans 10 jours.

Dans 10 jours, donc, nous allons sûrement continuer à nous les peler, mais dis-toi que la vie reprend son cycle ascendant, et que ce miracle a lieu tous les ans.


Les merveilleux battles de commentaires sur Youtube

En visionnant plusieurs versions de cette musique (ça, ça fait musicologue – en plus là, c’est un vrai mot de la langue française – tu vois), j’ai trouvé assez régulièrement des commentaires au sujet de son utilisation antérieure dans le film Shutter Island (si tu kiffes les films autour du sujet de la névrose et de la schizophrénie, celui-là peut t’intéresser).

Et là les rageux enchainent sur des propos tels que « mais bon sang, c’est tellement mieux dans Shutter Island que dans ce film naze avec des poulpes géants » et autres « c’est pas la vraie version, la vraie c’est dans Shutter Island »,
Le plus drôle étant que lorsque certains les interrogent afin de creuser la question de leur opinion concernant Premier Contact… ben la plupart ne l’ont pas vu, ou surtout juste pas compris (après, ils ont le droit de préférer les névroses humaines aux questions sur le sens de la vie, mais ils ont aussi le droit de s’acheter une réflexion).

En fait, cette problématique de la réduction d’un film à ses aspects cosmétiques, j’y reviens en conclusion.


LE CINÉMA ET LES SÉRIES TV SUR RYL :


4- Denis Villeneuve | Denis Villeneuve, le Réalisateur


En 2016, année de sortie de Premier Contact, le Québécois Denis Villeneuve n’en est pas à son coup d’essai : ce n’est point un noob, et il a déjà quelques films notables à son actif (si un jour tu veux donner dans la critique de films, n’hésite pas à utiliser cette expression, ça fait cinéphile averti).

À l’instar du cas du film Premier Contact – qui pourrait entrer dans un dictionnaire à l’usage des critiques qui passent à côté de la plaque – Denis ne réalise jamais juste au premier degré.

Toute sa filmographie – au moins jusqu’à Premier Contact – consiste à relater des histoires… avec en trame de fond une question finalement assez récurrente – le sens de la vie.

Alors là tu vas peut-être te dire que je suis un joli fumiste d’écrire cela, parce que c’est vrai pour plein de films, pour ne pas dire tous, ou presque.

Et là je vais te répondre « va lire les critiques sur la fiche Wikipedia », et tu comprendras pourquoi je propose un dictionnaire à l’attention des cinématologues. Tu pourras y constater que le premier degré est tout de même assez fréquent, même (surtout ?) parmi les cinématologistes (oui, je change de néologisme, tellement le sujet m’inspire).

Donc, Denis, il est comme d’autres – j’en conviens – il a probablement en tête un genre de quête mystique, il s’interroge à ce sujet, et ses films nous permettent de nous poser des questions à notre tour, et si j’en reviens à Premier Contact, il apporte même des réponses.
Avec une grande subtilité, car précisément dans ce film, il apporte 2 versions, 2 réponses à la question essentielle.


À LIRE ÉGALEMENT SUR RYL :



5- Conclusion


Ça n’est pas le sujet principal de cet article, mais il en découle forcément.

Dans bien des domaines, les classifications sont d’abominables réducteurs.

Premier Contact « est un film de science-fiction »…

Quand tu commences ainsi, tu perds déjà tous les gens qui se disent « han, encore un space opera à la noix ou un film avec des soucoupes volantes et des gaziers avec des lasers dans les yeux (…) ».

C’est donc bien un réel problème, parce que le genre au sens classification dissimule la réalité de nombre de films, leur profondeur.

Au sein de l’article Wikipedia consacré au film, j’ai relevé cette critique :

« Villeneuve, qui fait preuve d’une virtuosité peu commune, a visiblement songé à Rencontres du troisième type. Cette référence ne le déshonore pas. Personne ne lui reprochera de prendre l’affaire au sérieux. Mais le mystère finit par lasser un brin. Il y a des moments où l’on regrette le brave Martien de La Soupe aux choux ».
– Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Premier_Contact_(film)#Critiques –

Nom d’une pipe, un cinématologue averti.

Alors le monsieur, il a compris / retenu du film que c’est un clone de « Rencontres du Troisième Type ». Et que le film se résume ainsi au suspens insoutenable – « mais à quoi ressemblent donc les extra-terrestres ».
Forcément, si tu abordes ainsi un tel film, ben tu te retrouves assez rapidement avec un suspens ruiné.

Je serais curieux de lire sa critique du remake de « Danse avec les Loups », AKA Avatar

Mais ouate de phoque !


Ça me rappelle un type qui m’avait dit – parlant de Matrix – « ouais, c’est pas mal, mais bon, c’est de la SF quoi ».
Je ne te cache pas qu’il se tapait par contre volontiers toute la filmographie de Pedro Almodovar et était dithyrambique à son sujet.
Ceci n’étant pas une critique, juste une illustration de l’enfermement volontaire.

Je n’ai pas spécialement envie de me livrer à une punchline légèrement bateau et pseudo-philosophique… mais ce film est tout de même une pure réflexion sur bien des thèmes, dont « les choses valent-elles la peine d’être vécues si l’on en connait l’issue ? ».

J’ai très envie de te répondre que OUI, sinon, ça te renvoie à « la vie vaut-elle la peine d’être vécue ? ».
Thématique corolaire et parfaitement abordée par ce film, Premier Contact.

Parce que la vie telle que nous l’entendons, elle est appelée à finir un jour, pour nous tous, dans la forme que nous lui connaissons.
Alors : flinguons-nous directement ou bien vivons.
J’ai fait mon choix : je vis.


Des bisous, mes chéris 🙂

Olivier



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